Les timbres comme pont : Ruppel soutient les écoles au Kenya !

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Rudolf Ruppel soutient une école au Kenya en vendant de précieux timbres. Un regard sur la situation actuelle des collectionneurs.

Rudolf Ruppel unterstützt eine Schule in Kenia durch den Verkauf wertvoller Briefmarken. Ein Blick auf die aktuelle Sammlersituation.
Rudolf Ruppel soutient une école au Kenya en vendant de précieux timbres. Un regard sur la situation actuelle des collectionneurs.

Les timbres comme pont : Ruppel soutient les écoles au Kenya !

Rudolf Ruppel de Plüderhausen s'engage de manière impressionnante dans un projet missionnaire près de Nairobi, au Kenya. Son soutien passe par la vente de timbres, qui ont une valeur importante non seulement en tant qu'objets de collection mais également à des fins caritatives. Ruppel a récemment présenté ses précieux jetons au pasteur Martin Saur pour explorer les possibilités de la manière dont les ventes pourraient générer des fonds au profit de l'école au Kenya.

Cependant, la situation actuelle des collectionneurs de timbres est difficile. Zvw rapporte que l’utilisation du courrier électronique et de WhatsApp a considérablement réduit la correspondance traditionnelle. Cette évolution signifie que de moins en moins de personnes envoient des lettres, ce qui a un impact négatif sur la demande de timbres. Cependant, il existe encore des exemples précieux qui proviennent d'époques antérieures et qui ont une certaine valeur de collection.

Appréciation des collections de timbres

La valorisation des collections de timbres peut être problématique car de nombreux collectionneurs ne sont pas sûrs de la valeur réelle de leurs pièces. Un article sur Test.de explique que l'héritage des timbres est souvent complexe. Par exemple, une collection peut comprendre onze albums et contenir des timbres de différentes époques, notamment des pièces de l'Empire et des blocs non estampillés de la RDA. Les experts recommandent qu'une évaluation plus détaillée soit effectuée par des maisons de ventes aux enchères ou des revendeurs s'il existe des preuves d'une valeur plus élevée. De nombreux acheteurs peuvent désormais être trouvés sur des plateformes comme eBay, où les collectionneurs proposent leurs marques pour de petites sommes.

Un employé de la maison de vente aux enchères Schlegel à Berlin a estimé une collection entre 30 et 40 euros, ce qui montre que de nombreux collectionneurs ne peuvent souvent vendre leurs timbres que pour quelques euros. L'article note également que les commissaires-priseurs prélèvent une commission d'environ 20 pour cent sur le produit de la vente. Une autre façon de faire bon usage de la collection serait d’en faire don à des écoles ou à des œuvres caritatives telles que le Bethel Stamp Office.

Nouvelles tendances dans la collection de timbres

Le déclin des collectionneurs de timbres est un autre problème qui affecte l'avenir de cette passion. Süddeutsche.de souligne que seuls quelques jeunes participent à des manifestations telles que la «Journée des jeunes collectionneurs de timbres» à Salzwedel. Cependant, la tendance à la « philatélie sociale » pourrait contribuer à donner une nouvelle image de la collection, plus attractive. Il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour partager la passion des timbres avec un public plus large.

L'événement comprenait également un échange d'échanges, offrant l'occasion d'échanger des marques et de nouer de nouveaux contacts. Par ailleurs, la directrice du club, Carmen Kauffmann, fait état d'une baisse du nombre de marchands, ce qui affecte particulièrement l'attractivité de la collection pour les jeunes générations.

L'engagement de Rudolf Ruppel dans le projet de mission montre que la collection de timbres peut être bien plus qu'un simple passe-temps. Cela ouvre des possibilités de soutenir des projets et de promouvoir le bien commun, même à une époque où la correspondance traditionnelle passe de plus en plus au second plan.