SCANDALE chez Würth : le tribunal du travail rejette la troisième attaque contre le licenciement !

Transparenz: Redaktionell erstellt und geprüft.
Veröffentlicht am

Heilbronn : Würth perd à nouveau devant le tribunal du travail, se défend contre les licenciements sans préavis et ferme l'usine de Schopfheim.

Heilbronn: Würth verliert erneut vor dem Arbeitsgericht, wehrt sich gegen fristlose Kündigungen und schließt Werk in Schopfheim.
Heilbronn : Würth perd à nouveau devant le tribunal du travail, se défend contre les licenciements sans préavis et ferme l'usine de Schopfheim.

SCANDALE chez Würth : le tribunal du travail rejette la troisième attaque contre le licenciement !

Par un incroyable retournement de situation, l'entreprise familiale allemande Würth a subi un véritable désastre devant les tribunaux du travail ! Aujourd'hui, sur17 juillet 2025, le patriarche controversé Reinhold Würth a subi sa troisième défaite dévastatrice devant le tribunal du travail de Heilbronn. Rapports SWR que le licenciement immédiat d'un employé de la logistique a été déclaré illégal !

Le salarié était non seulement l’un des principaux acteurs d’une campagne de signature interne, mais aussi un symbole puissant du mécontentement grandissant dans l’entreprise ! Des centaines de signatures au total287, ont été remis lors d'une réunion de travail sensationnelle qui a révélé l'appréciation catastrophique de la direction de l'entreprise. Cela montre : les employés en ont assez !

L'onde de choc

Chacun des licenciements sans préavis de Würth est désormais présenté sous un jour qui jette le doute sur l'intégrité du plus haut dirigeant. Les juges du travail n'ont trouvé aucune preuve pour étayer les allégations selon lesquelles les employés auraient commis une « tromperie » par leurs actions.Vraiment choquant !Au contraire, ce sont les salariés qui ont raison et le collaborateur logistique doit continuer à être employé sans restrictions.

Mais ce n'est pas tout ! Les vagues de troubles augmentent parce que Würth n’est pas seulement confronté au défi de survivre aux procédures judiciaires. Comment rapports wir-hn.de, l'entreprise fermera prochainement son usine de Schopfheim ! La raison ? Une baisse effroyable des ventes d’environ200 millions d'euros! Cela signifie la perspective effrayante d'une perte d'environ300 emplois! Une catastrophe qui secoue la région !

La lutte de pouvoir dans l'entreprise

Mais qu’y a-t-il réellement derrière ces disputes ? Le membre déchu du comité d'entreprise, qui travaillait pour le groupe Würth depuis 27 ans, a été licencié sans préavis parce qu'il n'aurait pas informé correctement ses collègues. Il n'était pas étranger à l'entreprise, mais un délégué syndical d'IG Metall qui luttait pour les droits des travailleurs. Ce licenciement abusif n'est qu'un exemple supplémentaire des mesures brutales prises par les managers pour garder le contrôle.

Würth a non seulement perdu le soutien de ses propres collaborateurs, mais l’opinion publique est également contre lui ! Une lettre incendiaire du patron de l'entreprise de 2022, dans laquelle il déconseillait l'élection de certains candidats au comité d'entreprise, ainsi qu'un autre appel à ne pas voter pour l'AfD, ont suscité des réactions mitigées parmi les salariés. Les questions qui sont désormais dans la salle : cette influence politique aura-t-elle des conséquences à long terme sur les ventes ? Ces préoccupations deviennent bruyantes et urgentes !

Un conflit qui fait rage

Les conflits devant les tribunaux du travail en Allemagne ne sont pas nouveaux. Tel que rapporté par Personaldienst Online, cela tourne souvent autour des licenciements et des discriminations qui refont surface. Mais dans ce cas, la crise prend des proportions dramatiques : la stabilité et l’équité de la vie professionnelle sont menacées !

Würth se retrouve au milieu d'une tempête choquante, dont les vents sont composés d'employés mécontents et de décisions de justice ratées. Plus rien ne semble sûr ! Et la question se pose : Würth peut-il se relever des décombres de ces scandales, ou l’entreprise restera-t-elle dans l’histoire comme l’entreprise qui a ignoré la voix de ses salariés ?